Jacques Testart

Président d’honneur de la Fondation Sciences Citoyennes (FSC)
Membre du conseil scientifique d’ATTAC
Directeur de Recherche honoraire à l’INSERM
http://jacques.testart.free.fr

«Si on va vers des catastrophes écologiques, c’est parce que d’abord on a fait des développements technologiques. Évidemment, si on n’avait pas inventé la machine à vapeur et puis le moteur à explosion et toutes sortes de choses, puis les OGM, on n’en serait pas à des crises écologiques majeures avec disparition de la biodiversité, l’augmentation des température.»
Emission «A voix nues»,  juin 2012.

«Parmi tous les progrès pour réparer et tous les progrès déjà abandonnés tels que l’amiante et le Concorde, en passant par les progrès agonisants tels que l’agriculture industrielle, les bagnoles et les aéroplanes, l’avenir devrait honorer comme elles le méritent deux inventions irréprochables : l’essoreuse manuelle pour la salade et le bavoir imperméable à poche de rebut pour les bébés !»
La Décroissance
, mars 2010.

«La décroissance de la production et de la consommation peut être perçue comme un choix ou comme un destin. Je suis de ceux qui la croient inévitable, qui y voient aussi l’occasion d’une révolution humaniste mais qui craignent que la pénurie pousse les puissants à s’approprier les miettes, au risque d’affrontements violents.»
Bruxelles laïque échos
, septembre 2009.

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Jacques Testart

Président d’honneur de la Fondation Sciences Citoyennes (FSC)
Membre du conseil scientifique d’ATTAC
Directeur de Recherche honoraire à l’INSERM
http://jacques.testart.free.fr

  • De l’éprouvette au bébé spectacle, éd. complexe, 1984
  • L’oeuf transparent, éd. Flammarion coll Champs, 1986
  • Simon l’embaumeur, éd. François Bourin, 1987 ; Gallimard coll. Folio, 1988
  • Le magasin des enfants, (collectif) éd. François Bourin, 1990 ; Gallimard coll Folio, 1994
  • Le désir du gène, éd. François Bourin, 1992 ; Flammarion coll. Champs, 1994
  • La procréation médicalisée, éd. Flammarion coll. Dominos, 1993
  • Des grenouilles et des hommes, éd Stock, 1995
  • Pour une éthique planétaire, (avec Jens Georg Reich) éd. Mille et une nuits, 1997
  • Eve ou la répétition, éd. Odile Jacob, 1998
  • Des hommes probables, éd. du Seuil, 1999
  • Procréation et manipulations du vivant, France Loisirs, 2000
  • Au bazar du vivant, (avec Christian Godin) éd. du Seuil, coll. Points Virgule, 2001
  • Réflexions pour un monde vivable, (collectif) Mille et une nuits, 2003
  • Le vivant manipulé, Sand, 2003
  • Le vélo, le mur et le citoyen, Belin, ,2006
  • Petit florilège naturaliste, Belin, 2006
  • OGM : quels risques ? (avec Yves Chupeau), Ed. Prométhée, Collection Pour ou contre, 2007
  • Labo-planète. Ou comment 2030 se prépare sans les citoyens, avec Catherine Bourgain et Agnès Sinaï, Fayard, coll. Mille et une nuits, 2011
  • A qui profitent les OGM ?, CNRS Editions, 2013
  • Faire des enfants demain, Seuil, 2014
  • L’Humanitude au pouvoir : Comment les citoyens peuvent décider du bien commun, Seuil, 2015
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Jacques Testart

Président d’honneur de la Fondation Sciences Citoyennes (FSC)
Membre du conseil scientifique d’ATTAC
Directeur de Recherche honoraire à l’INSERM
http://jacques.testart.free.fr

Né en 1939, Jacques Testart est agronome et biologiste de formation, docteur ès sciences, il est de 1964 à 1977 chercheur à l’INRA (reproduction des mammifères domestiques). Entre 1978 et 2007, il est chercheur à l’INSERM (procréation naturelle et artificielle dans l’espèce humaine). Auteur des premières «mères porteuses» chez les bovins en 1972, Jacques Testart est le père scientifique du premier bébé éprouvette français né en 1982. Il mène des travaux sur la congélation de l’embryon humain (1986) ainsi que sur la fécondation in vitro avec injection du spermatozoïde (1994). De 1988 à 2000, il est membre de la Commission Nationale de Médecine et Biologie de la Reproduction (CNMBR). Il est aussi fondateur de la Fédération des biologistes de la fécondation et de la conservation de l’œuf (BLEFCO), du Groupe d’Etude de la FIV en France (GEFF) et du dossier national informatisé (FIVNAT). En 1993, il devient membre du Conseil pour les droits des générations futures, mis en place par le Premier ministre Pierre Bérégovoy. Mais en 1995, après l’annonce de la reprise des essais nucléaires par la France, le président du conseil, Jacques-Yves Cousteau, démissionne et le conseil ne s’est plus réuni. Entre 1999 et 2003, Jacques Testart préside la Commission française du développement durable. Il a été membre du conseil d’administration de l’association Inf’OGM jusqu’en 2008. Il soutient les actions des Faucheurs Volontaires et est régulièrement venu témoigner à leurs procès. Il a présidé au départ, en 2002, le conseil d’administration de la Fondation Sciences Citoyennes et reste aujourd’hui président d’honneur. En 2007, il soutient la candidature présidentielle de José Bové. En mars 2012, il lance, avec le philosophe décroissant Paul Ariès, un «Appel des gauches antiproductivistes et objectrices de croissance à voter pour Jean-Luc Mélenchon». Depuis 2008, il dénonce le Téléthon, le qualifiant de «plus cher cabaret du monde».
Il est l’auteur de plus de 300 articles dans la presse scientifique internationale. Différents journaux (Politis, Le Monde, Libération) publient occasionnellement ses tribunes.  Il a longtemps tenu une chronique dans le journal La décroissance. Mais suite à des invectives de Vincent Cheynet, directeur du journal, dans des numéros récents contre le journaliste écologiste Fabrice Nicolino et le philosophe Patrick Viveret, le nom de Jacques Testart n’apparaît plus dans le comité de rédaction. En revanche, il a écrit ponctuellement pour Le Sarkophage, le journal de Paul Ariès.
Il a reçu différentes distinctions : Ordre du Mérite (1983), Prix scientifique de la Ville de Paris (1990), Prix Moron (philosophie) de l’Académie Française (1993), Docteur honoris causa de l’Université de Louvain (1995).

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Dominique Belpomme

Président de l’Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse (ARTAC)
Président de l’European Cancer and Environment Research Institute (ECERI)
Président de la Société Française de Médecine Environnementale (ISDE-France)
Membre du conseil scientifique de l’European Academy for environmental Medicine
Médecin à la Clinique Alleray-Labrouste

Né le 14 mars 1943 à Rouen, médecin cancérologue, il est président et fondateur de l’ARTAC en 1984, avec comme but, au départ, «de promouvoir et de développer des recherches originales en cancérologie». Il a notamment travaillé en partenariat avec l’industrie pharmaceutique, dans le développement clinique et pharmacologique de certains médicaments anticancéreux. Il a exercé en tant que médecin cancérologue à l’Hôpital Bichat et a été chef de l’unité d’oncologie médicale à l’Hôpital Boucicaut, avant d’exercer à l’Hôpital Européen Georges Pompidou et, depuis septembre 2009, il a une consultation deux jours par semaine en oncologie et en médecine environnementale à la Clinique Alleray-Labrouste. En 2002, Dominique Belpomme décide de «rejoindre les écologistes» et oriente désormais ses travaux principalement sur les causes environnementales des maladies, dont le cancer. Il prend alors contact avec François Veillerette du MDRGF qui l’introduit dans les milieux écologistes. Une collaboration étroite s’instaure alors entre les deux hommes, l’ARTAC hébergeant même quelque temps l’association de François Veillerette. En 2003, Thierry Jaccaud ouvre les colonnes de L’Ecologiste au professeur Belpomme. La première médiatisation de ce dernier intervient en janvier 2004 quand il est entendu lors du procès de Saint-Gaudens dans l’affaire du Régent. Le mois suivant, il sort son livre catastrophiste intitulé Ces maladies créées par l’homme, écrit en collaboration avec Bernard Pascuito, auteur de biographies de Dalida, John McEnroe, Coluche, Gainsbourg, etc. Le livre est tiré à 26.000 exemplaires et connaît un succès médiatique. En mai 2004, dans la même dynamique, il organise un colloque sur le thème «Cancer, environnement et société», à l’Unesco, avec l’aide importante du MDRGF et l’équipe de L’Ecologiste. A l’issue de cet événement, l’Appel de Paris, déclaration internationale sur les dangers mortels de la pollution, est présenté. La présence de Corinne Lepage, de Nicolas Hulot, du professeur Luc Montagnier et du professeur Lucien Israël permet une forte médiatisation de cet appel du professeur Belpomme. En 2006, un deuxième colloque est organisé sur le thème «Environnement et santé durable: une expertise internationale». En septembre 2007, il fait la une du Parisien en dénonçant le «désastre sanitaire» aux Antilles causé par le chlordécone. A partir de 2008, il décide de se concentrer également sur les problèmes d’électrosensibilité et collabore, à ce sujet, avec des associations comme le CRIIREM et Robin des Toits. En 2010, il affirme avoir décrit le «syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques» du point de vue clinique et biologique. En avril 2011, il organise le Troisième colloque de l’Appel de Paris sur le thème de la santé des enfants. Dominique Belpomme ambitionne d’être un acteur de lobbying européen, en créant, avec notamment Corinne Lepage, une sorte d’ARTAC européenne – l’European Cancer and Environment Research Institute (ECERI) – en juillet 2011 à Bruxelles. Dans la même dynamique, en septembre 2011, il crée et préside la Société Française de Médecine Environnementale, la branche française de l’International Society of Doctors for Environment. En novembre 2014, il organise le Quatrième colloque de l’Appel de Paris sur le thème «Faire reconnaître les atteintes à la santé et à l’environnement comme crime contre l’humanité». Il explique : «Puisque les politiques n’ont pas compris, il faut passer à la morale et au droit. Mon but est de faire reconnaître par la Cour pénale internationale la pollution et la destruction de la nature comme crimes de santé publique.» En mai 2015, il organise à Bruxelles le Cinquième colloque de l’Appel de Paris sur le thème «Intolérances environnementales idiopathiques: quel rôle pour les champs électromagnétiques et les produits chimiques multiples ?».

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Réseau Environnement Santé

Mundo M – 47 avenue Pasteur
93100 Montreuil
Tél. : 01 80 89 58 37
E-mail : contact@reseau-environnement-sante.net
Site : http://www.reseau-environnement-sante.fr

Association de la loi de 1901, créée en 2009. Il existe deux antennes locales, mais sans structure légale : RES Alsace et RES Rhône-Alpes.

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Réseau Environnement Santé

Mundo M – 47 avenue Pasteur
93100 Montreuil
Tél. : 01 80 89 58 37
E-mail : contact@reseau-environnement-sante.net
Site : http://www.reseau-environnement-sante.fr

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Réseau Environnement Santé

Mundo M – 47 avenue Pasteur
93100 Montreuil
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Le RES effectue un important travail de lobbying auprès des institutions publiques françaises et européennes. Il organise souvent ses colloques dans des lieux lui permettant de donner une image institutionnelle à son action. Ainsi, le RES a organisé un colloque à l’Assemblée nationale sur les perturbateurs endocriniens en septembre 2010. En avril 2010, c’est à la Mutualité Française que le RES a organisé une conférence sur l’hypersensibilité, avec Robin des Toits et le professeur Belpomme. Ses actions de sensibilisation ont d’abord porté sur le Bisphénol A, avec un impact médiatique important. Le RES signe là son premier succès avec l’interdiction du BPA dans les biberons. Il est aussi intervenu dans le reportage d’Envoyé Spécial (France 2) sur les crèmes solaires en juillet 2009. En décembre 2010, le RES lance, avec HEAL et Générations Futures, une campagne «Environnement et Cancer». En mai 2011, le RES lance une campagne contre l’aspartame. Le 28 avril 2011, le RES et le WWF organisent au Muséum national d’Histoire naturelle un colloque sur le thème «Perturbateurs endocriniens et biodiversité». En février 2012, le RES lance une campagne contre l’utilisation du perchloroéthylène dans les pressings. Le 10 avril 2012, le RES organise un colloque à l’Assemblée nationale sur les perturbateurs endocriniens et les troubles de la reproduction. Six jours plus tard, le RES organise une conférence au Sénat afin d’interpeller les candidats à l’élection présidentielle sur les «scandales sanitaires». En juin 2012, le RES a organisé plusieurs animations sur le thème «Parlons santé» en partenariat avec la Mutuelle Familiale, dont l’un des intervenants était Aldino Izzi, membre du RES et responsable de la Mission Santé de la Mutuelle Familiale. Le 2 juillet 2012, le RES participe à la création du Rassemblement pour la planète avec quatre autres associations (Écologie Sans Frontières, Générations Futures, Respire et Robin des Toits), afin de pouvoir peser sur le dossier de santé environnementale à l’occasion de la Conférence Environnementale de septembre 2012. Cependant, le RES a déploré le «manque de vision, manque d’ambition et régression par rapport au Grenelle».
Le 4 avril 2013, le RES organise un colloque à l’Assemblée nationale sur le thème «Environnement chimique, obésité, diabète». Le 26 avril 2013, l’association organise au Sénat une conférence sur le thème «Perturbateurs endocriniens : à la reconquête de la santé publique». En juin 2014, le RES et l’unité Cancer Environnement du Centre Léon Bérard publient le premier panorama des formations en Santé-Environnement en région Rhône-Alpes. Le 16 octobre 2014, le RES organise à l’Assemblée nationale un colloque sur le thème «Crise sanitaire des Maladies Chroniques : les maladies environnementales émergentes nous alertent». A la suite de cet événement, l’association crée l’Alliance Maladies Environnementales Émergentes (AM2E), «afin de répondre aux attentes des personnes atteintes d’affections environnementales». Le 29 octobre 2014, le RES organise au Sénat une conférence sur le thème «Cancers hormono-dépendants et Perturbateurs Endocriniens : pourquoi la France est-elle devenue le premier pays au monde ?». En novembre 2014, le RES déplore le fait que «l’Agence du médicament (ANSM) refuse d’interdire l’amalgame dentaire, alors que ce dispositif médical est composé pour moitié de mercure métallique, une substance dont la toxicité est clairement établie».

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Comité français de l’UICN

26 rue Geoffroy Saint Hilaire
75005 Paris
Tél : 01 47 07 78 58 – Fax : 01 47 07 71 78
E-mail : uicn@uicn.fr
Site : http://www.uicn.fr

L’UICN est opaque concernant ses finances, ne détaillant pas sur son site ses sources financières. L’UICN n’a que très peu d’autofinancement avec moins de 1% de ses fonds provenant des cotisations en 2013. Elle dépend donc principalement de subventions : en 2012, ministères et services déconcentrés assurent environ 35% de son budget, les établissements publics et assimilés environ 26% et les entreprises environ 19%.

Graphique UICN

AnnéeProduitsChargesRésultat
20213.539.305 €3.538.555 €749 €
20203.104.753 €3.101.153 €3230 €
20192.893.659 €2.891.819 €1841 €
20182.238.540 €2.237.364 €1176 €
20171.999.383 €1.998.854 €529 €
20162.060.354 €2.059.298 €1056 €
20151.985.791 €1.984.394 €1397 €
20142.384.192 €2.383.905 €287 €
20132.071.308 €2.069.469 €1839 €
20121.381.868 €1.379.449 €2419 €
20111.298.570 €1.297.531 €1039 €
20101.735.238 €1.735.080 €158 €
2009non connunon connunon connu
20081.154.314 €1.144.949 €9364 €
2007782.617 €773.525 €9092 €

Principales sources extérieures de financement

2013
Ministère de l'Ecologie372.827€
Fonds Français pour l'Environnement Mondial207.147 €
Mayotte133.500 €
Conseil régional d'Ile-de-France120.335 €
Aquaculture100.000 €
EDF88.895 €
Ville de Marseille88.180 €
GDF-Suez82.660 €
Veolia65.370 €
Fonds Mécénat65.000 €
GSM54.860 €
Ministère de l'Outre-mer54.000 €
ONF54.000 €
Ministère de l'Agriculture50.000 €
Holcim44.030 €
Conseil régional d'Aquitaine40.000 €
Conseil régional du Centre40.000 €
Conseil régional du Pas-de-Calais39.450 €
Lafarge36.370 €
IUCN International34.640 €
GSM30.000 €
CIL28.378 €
Ademe26.000 €
Te Me Um23.058 €
Nausicaa22.500 €
Alterre Bourgogne10.463 €

2012
Ministère de l'Ecologie390.672 €
Fonds Français pour l'Environnement Mondial201.618 €
Agence des aires marines protégées84.902 €
GSM81.200 €
GDF-Suez
74.315 €
Ministère de l'Outre-mer68.400 €
EDF44.595 €
Veolia40.050 €
Conseil régional du Centre40.000 €
ONF39.700 €
Conseil régional d'Ile-de-France34.664 €
Conseil régional d'Aquitaine28.000 €
Fondation Veolia26.350 €
Te Me Um23.058 €
Alterre Bourgogne21.000 €
Ademe20.072 €
Aides à l'embauche20.852 €
Fondation Nature & Découvertes20.000 €
Fondation EDF20.000 €
Lafarge21.506 €
Conseil régional du Pas-de-Calais10.000 €
Ville de Marseille10.000 €
DEAL Mayotte8500 €
Nausicaa2500 €
Pierre Fabre1200 €
Expancience1000 €

2011
Ministère de l'Ecologie340.000 €
Fonds Français pour l'Environnement Mondial205.862 €
Ministère de l'Outre-mer113.000 €
Lafarge84.724 €
GSM79.650 €
GDF-Suez68.485 €
Veolia35.270 €
Fondation Nature & Découvertes31.000 €
Ministère de l'Agriculture29.544 €
EDF26.725 €
WWF France25.000 €
ONF24.700 €
Aides à l'embauche24.566 €
Te Me Um20.979 €
Fondation Veolia20.000 €
Fondation EDF20.000 €
Agence nationale de la recherche18.040 €
Alterre Bourgogne15.000 €
DEAL Mayotte15.000 €
ONERC12.100 €
Conseil régional d'Aquitaine12.000 €
CIRAD10.000 €
Fonds Biome10.000 €
Conseil régional de la Réunion10.000 €
Agence des aires marines protégées9652 €
Ademe8602 €
Province Sud de Nouvelle-Calédonie8530 €
Fondation Léa Nature5000 €

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Zero Waste France (ex-CNIID)

18, boulevard Barbès
75018 Paris
Tél. : 01.55.78.28.60
E-mail : contact@zerowastefrance.org
Site : http://www.zerowastefrance.org

AnnéeProduitsChargesRésultat
2021640.391 €629.297 €11.095 €
2020663.633 €639.066 €24.567 €
2019 575.040 €561.263 €13.777 €
2018601.977 €509.583 €92.393 €
2017402.325 €398.830 €3495 €
2016462.709 €454.883 €7826 €
2015436.474 €438.263 €-1789 €
2014409.085 €426.373 €-17.288 €
2013235.696 €238.349 €-2653 €
2012229.115 €223.105 €6010 €
2011234.217 €223.565 €10.652 €
2010240.799 €213.976 €26.823 €
2009222.992 €240.631 €-17.639 €

Répartition des financements

 

Principales sources extérieures de financement

2014
Fondation Carasso117.000 €
Ministère de l'Ecologie33.000 €
Région Ile-de-France15.000 €
Réserve parlementaire EELV15.000 €
Aides à l'emploi (IDF)12.932 €

2013
Ministère de l'Ecologie16.219 €
Aides à l'emploi (IDF)10.917 €
Patagonia Foundation8879 €
Réserve parlementaire EELV8000 €
Lush5000 €

2012
Aides à l'emploi (IDF)13.833 €
Ministère de l'Ecologie15.000 €
Patagonia Foundation8125 €
Citizen Green7000 €
Fondation Un monde par tous5000 €
Réserve parlementaire3500 €

2011
Aides à l'emploi (IDF)17.744 €
Ministère de l'Ecologie19.000 €
Patagonia Foundation8125 €
Citizen Green7000 €
Fondation Un monde par tous5000 €
Fondation Nicolas Hulot5000 €
Réserve parlementaire4000 €

2010
Aides à l'emploi (IDF)29.750 €
Ministère de l'Ecologie15.000 €
Patagonia Foundation5852 €
Réserve parlementaire4000 €
WWF3600 €
Health Care Without Harm1474 €


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CRIIREM (Centre de recherche et d’information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques)

19-21 rue Thalès de Milet
72000 Le Mans
Tél.- Fax : 02 43 21 18 69
Email : contact@criirem.org
Site : http://www.criirem.org

Le CRIIREM est totalement opaque concernant ses finances, puisqu’il n’y a aucune indication sur son site de ses bilans et de ses sources de financement. Il mentionne le fait que son budget est équilibré, sauf «un résultat en 2010 qui nous a permis d’acquérir du nouveau matériel de mesures en 2011». On sait qu’il a bénéficié d’une subvention de la Fondation pour une Terre humaine en 2005, pour «aide au démarrage de ce nouvel organisme indépendant d’évaluation des risques — notamment sanitaires — liés à la téléphonie mobile». Une source de financement, c’est évidemment les demandes de mesures demandées par les collectivités locales, études dont le coût peut s’élever entre 4000 et 5000 euros pour une ville de 20.000 habitants. Il y a aussi une à deux sessions de formation par an, avec des tarifs entre 350 et 700 euros pour 21 heures. En 2013, le CRIIREM a reçu 5000 euros de la réserve parlementaire du groupe EELV à l’Assemblée nationale.

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