Robin des Toits

22 rue Descartes
78460 Chevreuse
Tél. : 01.47.00.96.33
Email : contact@robindestoits.org
Site : www.robindestoits.org

Robin des Toits mène des actions de lobbying auprès des institutions publiques et des campagnes de propagande alarmiste auprès du grand public, notamment à travers ses interventions régulières dans les médias. En mars 2009, par exemple, l’association a organisé un colloque «Technologie sans fil, un nouvel enjeu sanitaire» au Sénat, avec le soutien des sénateurs  écologistes Marie-Christine Blandin et Jean Desessard, et en partenariat avec SUPAP-FSU et Ecologie sans frontière. En avril 2010, Robin des Toits est associé à l’Alliance Scientifique pour le Traitement et la Reconnaissance des malades Electrosensibles (ASTRÉ), créée par le CRIIREM et l’ARTAC. Depuis 2011, l’association lutte contre les «compteurs intelligents» ou «Linky» pour l’électricité, le gaz ou l’eau, qui cutilisent un module radiofréquence incorporé dans le compteur. En mai 2015, Robin des Toits s’est mobilisé dans une campagne de lobbying auprès des députés pour qu’ils ne votent pas loi sur le compteur Linky, car «tous les réseaux électriques, tous les appareils électriques deviendront des émetteurs des radiofréquences injectées par EDF depuis les postes de transformation au moyen de coupleurs. Il n’existera plus un espace non pollué où se mettre à l’abri».
En 2012, et afin de peser sur la thématique de la santé environnementale lors de la Conférence Environnementale organisée par le gouvernement, Robin des Toits décide avec plusieurs associations de s’unir au sein du Rassemblement de la planète. En décembre 2012, Robin des Toits dépose un recours en justice pour que soit rediscutée la nouvelle charte de téléphonie mobile liant la mairie de Paris et les grands opérateurs télécoms. En février 2013, Robin des Toits dénonce une publicité de Free Mobile, mettant en scène une fillette ayant moins de 14 ans pour promouvoir un forfait mobile, obligeant l’opérateur à la retirer. En septembre 2013, l’association renonce à son recours contre la nouvelle charte de téléphonie mobile liant la mairie de Paris aux opérateurs télécoms, par crainte de voir la justice interdire le principe même de ces chartes utilisées dans d’autres villes.

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