81-83 bd Port-Royal
75013 Paris
Tél. : 01 44 08 02 50
Email : information@fne.asso.fr
Site : http://www.fne.asso.fr
Avec une équipe nationale composée de 180 bénévoles et 42 salariés, la force de FNE repose sur un large maillage associatif, puisque l’association réunit 57 associations adhérentes (et environ 3500 associations affiliées, membres des associations adhérentes). Présente dans près de 400 instances de concertation, FNE est incontournable dans les négociations environnementales. Son ancrage local, son expérience de la négociation et son expertise en font un interlocuteur privilégié des pouvoirs publics. Cela s’explique aussi par une forte dépendance de FNE vis-à-vis des ministères, puisque ceux-ci assurent environ un tiers des recettes de l’association écologiste. FNE travaille donc de façon étroite et régulière avec le ministère de l’Ecologie, et cela avait été particulièrement le cas quand Nicolas Hulot en avait la charge. Michel Dubromel, président de FNE de l’époque, avait même confié à propos de ce dernier : «On a un accès direct, alors on n’hésite pas à lui dire quand il déconne.»
Concernant ses campagnes, FNE était à l’origine centrée sur la protection de la faune et de la flore, et a ensuite progressivement investi les autres thèmes écologistes comme le nucléaire, la 5G, les OGM, la santé environnementale ou encore les transports et mobilités durables. Ainsi, FNE va aussi bien promouvoir l’écotaxe pour les poids lourds, défendre la présence du loup et de l’ours en France que demander «l’arrêt de nombreux projets climaticides dont l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes par exemple».
De façon plus générale, FNE fustige le «dogme de la croissance économique», affirmant qu’«une croissance économique illimitée est incompatible avec la protection viable de la nature et de l’environnement». D’ailleurs, le président de FNE, Arnaud Schwartz, s’est déclaré en 2019 un partisan de la décroissance, «à titre personnel» : «Il faut des mesures qui remettent profondément en cause les modes de production, de consommation, d’habitation, de déplacement, de vivre ensemble… Le tout résumé en une seule mesure, c’est la décroissance. On n’a pas besoin d’attendre les autres pays pour ça.»
FNE affirme entretenir une «culture du dialogue» et, en effet, l’association est engagée dans des partenariats importants avec des acteurs du monde économique, comme Paprec Group, PSA, Lafarge, Suez ou Veolia. Des partenariats jugés par certains écologistes comme des compromissions de FNE. Ainsi, le journaliste écologiste Fabrice Nicolino dénonce «une petite bureaucratie» qui est «perpétuellement à la recherche de breloques et de sous», et déplore qu’«ils s’acoquinent régulièrement avec des industriels dans le cadre de partenariats qu’ils jugent nécessaires». Et de fustiger le «pacte inouï» signé avec Keolis, MOBIVIA et la fondation PSA Peugeot Citroën. Dans le même temps, FNE peut adopter des positions radicales peu favorables au dialogue, comme quand elle a signé l’appel des coquelicots, initiative de Fabrice Nicolino, exigeant l’interdiction de tous les pesticides de synthèse.
Depuis quelques années, FNE essaye de rattraper son retard de notoriété par rapport aux autres grandes associations écologistes. De plus, elle tente de sortir de son image institutionnelle. Pour ce faire, elle avait décidé de lancer une campagne coup de poing, à la veille du Salon international de l’agriculture de 2011, avec des affiches agressives vis-à-vis du monde agricole, portant sur les importations d’OGM, les nitrates issus des élevages porcins et les pesticides. Comme l’avait expliqué Benoit Hartmann, directeur de FNE : «Pour être sûrs d’interpeller, nous avons choisi de dire adieu aux images bucoliques et aux discours gentillets.» Cette campagne stigmatisant les agriculteurs a beaucoup choqué à l’époque et suscité de nombreuses critiques. Depuis, FNE est revenu à des méthodes de communication moins polémiques.
Association de la loi de 1901, créée en 1968, reconnue d’utilité publique en 1976.
Bureau
- Arnaud Schwartz : président
- Alain Chabrolle : vice-président
- Jean-David Abel : vice-président
- Florence Denier-Pasquier : vice-présidente
- Cécile Claveirole : secrétaire nationale
- Nicolas Richard : secrétaire national
- Jérôme Partos : trésorier
- Elodie Martinie-Cousty: trésorière adjointe
Conseil d’administration
- Michel Dubromel
- Raymond Léost
- Jean-David Abel
- Alain Chabrolle
- Valérie Genesseaux
- Cécile Claveirole
- Arnaud Berger
- Bruno Genty
- Antoine Gatet
- Arnaud Schwartz
- Rita Fahd
- Florence Denier-Pasquier
- Frédérique Resche-Rigon
- Elodie Martinie-Cousty
- Jérôme Partos
- Nicolas Richard
- Thierry Dereux
- Ginette Vastel
- Pauline Couvin
- Martine Vallon
- Agnès Popelin
Equipe bénévole
- Agnès Popelin : présidente du Collectif Auteuil-Les Princes
- Alain Chabrolle : co-responsable du réseau risques et impacts industriels
- Anne Lassmann-Trappier : membre du directoire du réseau santé-environnement et du réseau transports et mobilités durables
- Antoine Gatet : membre du directoire du réseau juridique
- Arnaud Berger : administrateur
- Arnaud Schwartz : secrétaire national
- Bruno Genty : président d’honneur, représentant FNE au CESE
- Cécile Claveirole : secrétaire nationale, responsable du réseau agriculture
- Christian Garnier : responsable du réseau Villes et territoires durables
- Denez L’Hostis : président d’honneur, membre du directoire du réseau océans mer et littoraux
- Elodie Martinie-Cousty : responsable du réseau Océans, mers et littoraux
- Florence Denier-Pasquier : membre du directoire du réseau juridique
- Frédéric Jacquemart : responsable de la mission Biotechnologies
- Frédérique Resche-Rigon : co-responsable du réseau Éducation et sensibilisation à la nature et à l’environnement
- Gilles Benest
- Ginette Vastel
- Hervé Le Bouler : responsable du réseau forêt
- Jean Thévenon : responsable du réseau Transports & mobilités durables
- Jean-Claude Bévillard : responsable du réseau Agriculture
- Jean-David Abel : responsable du réseau Biodiversité
- Jérôme Partos : vice-président
- Laure Subirana
- Marc Saumureau : trésorier
- Marc Maillet : responsable de la mission montagne
- Marie-Catherine Lecocq : membre du directoire du réseau agriculture
- Martine Vallon
- Michel Dubromel
- Nathalie Villermet : responsable du réseau prévention et gestion des déchets
- Nicolas Richard
- Patrick Hervier
- Pauline Couvin
- Pierre Beaudouin : responsable du réseau éducation et sensibilisation à l’environnement et à la nature
- Raymond Léost : responsable du réseau juridique
- Rita Fahd
- Serge Urbano : membre du directoire du réseau biodiversité
- Thierry Dereux : membre du directoire du réseau prévention et gestion des déchets et du réseau océans, mers et littoraux
- Valérie Genesseaux
Equipe permanente
- Bénédicte Hermelin : directrice générale
- Adeline Favrel : chargée de mission Forêt
- Adeline Mathien : coordinatrice du réseau Énergie
- Alexis Guilpart : coordinateur du réseau Eau et Milieux aquatiques
- Anne Roques : juriste environnement
- Antoine Delalande : responsable des publications
- Benoit Descombe : chargé de communication fédérale et évenementiel
- Catherine Rolin : chargée de mission Prévention et gestion des déchets
- Christian Hosy : coordinateur réseau Biodiversité
- Demba Diedhiou : chargé de mission Transports et mobilités durables
- Diana Baselto : assistante Ressources Humaines
- Estelle Grellier : assistante
- Evelyne Gauthier : responsable administrative et financière
- Fabienne Bèche : assistante de direction
- Frédéric Briant : chargé développement dons et libéralités
- Frédéric Cousin : responsable systèmes d’information
- Guillaume Pannier : chargé des partenariats privés
- Heremoana Puhetini : chargé des partenariats privés et fondations
- Imène Miraoui : coordinatrice du réseau Risques et impacts industriels
- Justine Kerouedan : chargée de mission Transports et mobilités durables
- Laura Chiron : chargée de mission Prévention et Gestion des déchets
- Leïla Ayouch : responsable ressources humaines
- Lisa Roche : responsable communication digitale
- Lorraine Levieuge : chargée de mission Ressources en eau et milieux naturels aquatiques
- Manon Laudy : chargée des relations presse
- Margarita Verboud : coordinatrice du réseau prévention et gestion des déchets
- Maxime Paquin : chargé de mission réseau Biodiversité
- Marie-Catherine Schulz : coordinatrice du réseau Agriculture
- Morgane Piederrière : chargée de mission Relations institutionnelles
- Priscillia Bonnin : assistante communication
- Rachel Louiset : chargée de mission Education et sensibilisation à l’environnement
- Sabrina Roze : assistante administrative
- Sarah Kahtib : chargée de mission au réseau Forêt
- Sophie Bardet : chargée de mission Réseau juridique
- Sophie Mjati : coordinatrice du réseau Océans, mers & littoraux
- Stéphanie Morelle : chargée de mission réseau Biodiversité
- Sylvie Platel : coordinatrice du réseau Santé & environnement
- Thibaud Saint-Aubin : coordinateur du réseau prévention et gestion des déchets
- Thibault Leroux : chargé de mission Agriculture
Dans les années 60, il y a une volonté commune de réunir les associations de protection de l’environnement nationales, régionales, départementales et locales en un même ensemble. Sous l’impulsion de François Hüe, alors président de la Société Nationale de Protection de la Nature, il est créé la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature (FFSPN) en 1968. La mobilisation pour la défense du parc de la Vanoise (1969-1971) menacé par un programme d’aménagement touristique a été un catalyseur pour la toute jeune fédération. L’association sera rebaptisée France Nature Environnement en 1990.
FNE fonctionne avec 13 réseaux thématiques : Agriculture ; Biodiversité ; Eau et milieux aquatiques ; Éducation et sensibilisation à l’environnement et la nature ; Énergie ; Forêt ; Juridique ; Océans, mers et littoraux ; Prévention et gestion des déchets ; Risques et impacts industriels ; Santé et environnement ; Transports et mobilités durables ; Villes et territoires soutenables. FNE a été particulièrement impliquée dans le Grenelle de l’environnement, prenant clairement la posture de ceux qui veulent «jouer le jeu». Sur le climat, FNE s’est engagée à accompagner ses associations afin qu’elles impulsent et participent à la création de Plans Climat-Energie Territoriaux, outils des collectivités pour lutter contre le dérèglement climatique. FNE soutient la mise en place de la trame verte et bleue, réseau de milieux naturels qui doit permettre de préserver la biodiversité. Concernant les questions agricoles, FNE met à son actif un «lobbying pour une agriculture à haute valeur environnementale» dans les négociations au niveau national : contribuer à la certification «haute valeur environnementale» des exploitations, réorienter les aides publiques à l’agriculture vers les exploitations agricoles favorables à l’environnement et réduire de moitié les usages de pesticides en 10 ans. Sur la loi OGM, en 2008, FNE avait fait ses propres propositions d’amendement avec FNH et la LPO, différentes de celles élaborées entre autres par la Confédération paysanne et Greenpeace. FNE a participé très activement aux travaux du Comité de préfiguration qui a abouti à la suspension du MON810. La Fédération est aussi mobilisée sur différentes questions clefs : les algues vertes, les déchets, les méga-camions, les nanotechnologies, etc.
Début 2011, à la veille du Salon de l’agriculture, FNE a lancé une campagne d’affichage choc, stigmatisant le monde agricole à propos des OGM, des algues vertes et des pesticides. Cette méthode de communication agressive, inspirée par celle de Greenpeace, a permis à FNE de bénéficier d’une importante couverture médiatique. Après la polémique qu’a suscité cette campagne, FNE est revenu à des méthodes d’intervention plus classiques. Depuis 2011, FNE a engagé un partenariat avec l’INRA pour des «échanges sur l’agroécologie». En septembre 2012, FNE a participé à la Journée mondiale contre les gaz et pétrole de schiste, afin de mobiliser «contre l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels, dangereux pour le climat, la santé et l’environnement». De décembre 2012 à juillet 2013, à l’occasion du débat national sur la transition énergétique, FNE a organisé 30 événements dans 16 régions différentes afin d’«engager notre société vers un modèle énergétique plus sobre, plus équitable et moins polluant». En 2013, FNE a publié un livret de recettes anti-gaspillage, À vos tabliers !, leur objectif étant de réduire de moitié le gaspillage alimentaire d’ici 2025. Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets, FNE organise chaque année des actions : en 2019, ce sont 60 associations membres et affiliées à FNE qui ont mis en place 168 actions partout en France.
En septembre 2017, FNE avec des organisations de la société civile et paysannes ont remis une pétition regroupant plus de 110.000 signatures contre les nouveaux OGM au ministre Nicolas Hulot. A partir de 2017, FNE a mis en place le projet participatif Sentinelles de la Nature est un projet fédéral du mouvement de France Nature Environnement, une interface cartographique qui «permet de localiser et de signaler sur le territoire des atteintes à l’environnement ou des initiatives qui lui sont favorables». En 2019, il y a eu 1889 signalements publiés. En janvier 2018, FNE déplore que «la loi alimentation n’est en fait qu’une loi d’économie agricole». En février 2018, FNE avec d’autres associations s’oppose au nouveau «plan loup», expliquant que «l’État est incapable de mettre en évidence les bénéfices attendus du retour des prédateurs». En mars 2018, FNE cosigne une lettre ouverte appelant les ministres concernés «à ne pas délivrer de dérogation à l’utilisation des néonicotinoïdes». Au même moment, FNE accuse Nestlé Watters d’assécher la nappe phréatique de Vittel. En avril 2018, à l’occasion des expulsions à Notre-Dame-des-Mandes, FNE France Nature Environnement «dénonce une opération de manipulation médiatique qui fragilise le dialogue engagé avec l’ensemble des acteurs locaux autour du projet de territoire». En 2019, FNE, avec 19 organisations, a lancé le Pacte du pouvoir de vivre, «pour porter ensemble la convergence de l’écologie et du social». En septembre 2020, FNE, PRIARTEM et Agir pour l’Environnement plaident appellent à «bloquer le développement de la 5G tant qu’une évaluation sérieuse n’aura pas été conduite dans les règles de l’art».
Lobbying : FNE déclare avoir dépensé entre 300.000 et 400.000 euros en 2017 pour des activités de lobbying auprès des députés et sénateurs (elle a omis de déclarer ses dépenses de lobbying pour 2018 et 2019). Elle a déclaré 13 actions de lobbying en 2019 (contre 12 actions en 2018 et 12 actions en 2017). FNE représente les associations de protection de la nature et de l’environnement au sein de 396 instances de concertation (territoriales, nationales et internationales). Par exemple, au sein du Conseil économique, social et environnemental, 6 des 13 représentants d’associations écologistes viennent de FNE.
Contentieux : FNE n’hésite pas à recourir à la justice. En 2019, elle revendique 214 actions contentieuses en justice (contre près de 140 affaires suivies en justice en 2018), avec 86% de taux de réussite. Avec plusieurs organisations, elle a, par exemple, lancé 25 contentieux pour contester les décisions de préfets d’exclure certains types de «points d’eau» le long desquels l’utilisation de pesticides devait être interdite. Ou encore, en avril 2019, le tribunal administratif de Grenoble, saisi par FNE, a condamné Lactalis à 100.000 euros d’amende parce qu’il rejetait chaque année 200 tonnes de produits chimiques dans l’Isère.
Les dons, cotisations et legs représentent en 2019 seulement 11% du budget de FNE. L’association dépend en grande partie des subventions publiques, le ministère de l’Ecologie assurant à lui seul un tiers du budget de FNE en 2019. A noter que depuis 2008, FNE est opaque concernant les sommes versées par chaque entreprise dans le cadre d’un mécénat ou d’un partenariat. Depuis 2011, FNE a également renoncé à détailler les sommes provenant du financement public. Le Crédit Coopératif soutient FNE avec la mise en place de produits bancaires solidaires qui ont apporté 218.356 euros en 2019 (contre 174.108 euros en 2018, 165.338 euros en 2017, 133.277 euros en 2016, 116.421 euros en 2015, 148.164 euros en 2014, 162.987 euros en 2013 et 187.358 euros en 2012). L’activité contentieuse du réseau juridique a permis à FNE de bénéficier de 231.000 euros de ressources liées aux procédures engagées.
Année | Produits | Charges | Résultat |
---|---|---|---|
2020 | 3.992.592 € | 3.666.953 € | 325.639 € |
2019 | 4.077.716 € | 3.531.917 € | 545.799 € |
2018 | 3.914.849 € | 3.603.888 € | 310.961 € |
2017 | 3.688.394 € | 4.027.722 € | -339.328 € |
2016 | 3.644.075 € | 3.643.660 € | 415 € |
2015 | 3.472.409 € | 3.689.423 € | -217.014 € |
2014 | 3.444.847 € | 3.442.525 € | 2322 € |
2013 | 3.731.596 € | 3.515.693 € | 215.903 € |
2012 | 3.461.269 € | 3.647.495 € | -186.226 € |
2011 | 3.789.368 € | 3.786.272 € | 3096 € |
2010 | 3.007.712 € | 2.960.319 € | 47.393 € |
2009 | 2.705.008 € | 2.690.877 € | 14.131 € |
2008 | 2.281.856 € | 2.304.718 € | -22.862 € |
2007 | 1.543.664 € | 1.543.379 € | 285 € |
Répartition des financements
Principales sources extérieures de financement
2019 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.300.000 € |
Paprec Group | 350.000 € |
Agence française pour la biodiversité | 225.539 € |
Ademe | 217.285 € |
PSA | 200.000 € |
GRDF | 120.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 66.363 € |
Engie | 58.000 € |
Leclerc | 55.000 € |
Seas at Risk | 50.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Vicat | 49.000 € |
Voies navigables de France | 40.000 € |
SNCF | 38.750 € |
Réseau ferré de France | 25.000 € |
Léa Nature | 25.000 € |
Agence de l'eau Loire-Bretagne | 23.470 € |
Eoliennes en mer | 22.500 € |
Agence de l'eau Seine-Normandie | 20.240 € |
Keolis | 16.250 € |
Melvita | 15.000 € |
Reforest'action | 14.000 € |
Nabu | 13.693 € |
Mighty Earth | 11.764 € |
Caisse des dépôts et consignations | 10.000 € |
ONF | 10.000 € |
Boralex | 9330 € |
Avifaune | 8000 € |
Bureau européen de l'environnement | 6000 € |
Birdlife | 5875 € |
Eco TLC | 5000 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 4200 € |
Programme LIFE (UE) | 4000 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
Deloitte Développement Durable | non connu |
Eau de Paris | non connu |
GRT Gaz | non connu |
Office français de la biodiversité | non connu |
Transitions DD | non connu |
2018 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.350.000 € |
Agence française pour la biodiversité | 233.695 € |
PSA | 200.000 € |
Paprec Group | 150.000 € |
Engie | 130.000 € |
Réseau ferré de France | 120.000 € |
Ademe | 101.415 € |
Ministère de l'Agriculture | 83.695 € |
GRDF | 65.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
SNCF | 55.000 € |
Citeo | 50.000 € |
GDF Suez | 49.375 € |
Eoliennes en mer Dieppe Le Tréport | 45.000 € |
Eoliennes en Mer Iles d'Yeu et de Noirmoutier | 45.000 € |
RTE | 43.750 € |
Keolis | 43.528 € |
Agence de l'eau Loire-Bretagne | 39.600 € |
Vicat | 35.000 € |
Nabu | 27.658 € |
EOLFI | 25.000 € |
Léa Nature | 25.000 € |
Programme LIFE (UE) | 20.000 € |
Mobivia | 16.667 € |
Onema | 13.740 € |
Séché Environnement | 10.000 € |
GRT Gaz | 10.000 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 9800 € |
ONF | 9100 € |
Avifaune | 8000 € |
Transitions DD | 7222 € |
Agence de l'eau Seine-Normandie | 4049 € |
Bureau européen de l'environnement | 4002 € |
Birdlife | 3857 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
Mighty Earth | 2756 € |
Eoliennes en mer | 2500 € |
CNAR Environnement | 2500 € |
Reforest'action | 1000 € |
2017 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.215.000 € |
Ademe | 196.392 € |
Crédit coopératif | 184.644 € |
Agence française pour la biodiversité | 150.000 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
Lyonnaise des eaux | 62.500 € |
Onema | 65.457 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
GRDF | 42.500 € |
Agence de l'eau | 38.235 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
SNCF | 15.000 € |
ONF | 9400 € |
CR DLA | 9179 € |
Voies navigables de France | 8000 € |
Réseau Action Climat | 6125 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
2016 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.216.000 € |
Ademe | 211.216 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
GRDF | 70.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
Lyonnaise des eaux | 53.125 € |
Onema | 51.717 € |
Lafarge | 50.000 € |
Agence de l'eau | 36.050 € |
Aires marines protégées | 30.953 € |
Voies navigables de France | 29.330 € |
GDF Suez | 28.333 € |
Veolia | 20.833 € |
Réseau ferré de France | 17.500 € |
CR DLA | 10.640 € |
Crédit coopératif | 10.000 € |
ONF | 8750 € |
Bureau européen de l'environnement | 6798 € |
2015 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.092.000 € |
Ademe | 264.296 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Bureau européen de l'environnement | 82.816 € |
Ministère de l'Agriculture | 80.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lyonnaise des eaux | 60.000 € |
Lafarge | 58.333 € |
GRDF | 52.500 € |
GDF Suez | 50.000 € |
Onema | 50.000 € |
Veolia | 50.000 € |
Aires marines protégées | 40.833 € |
ONF | 35.000 € |
Agence de l'eau | 33.000 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
Voies navigables de France | 22.151 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
GDF Branche Energie France | 16.667 € |
AFD | 15.000 € |
CR DLA | 10.500 € |
2014 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.102.000 € |
Ademe | 154.342 € |
Ministère de l'Agriculture | 107.800 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Lyonnaise des eaux | 80.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
Bureau européen de l'environnement | 61.000 € |
Voies navigables de France | 57.883 € |
GDF Suez | 50.000 € |
Onema | 50.000 € |
Veolia | 50.000 € |
Fondation Macif | 40.000 € |
ONF | 35.000 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
AFD | 30.000 € |
Agence de l'eau | 29.484 € |
Aires marines protégées | 28.333 € |
CR DLA | 27.736 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
GDF Branche Energie France | 20.000 € |
Transport & Environment | 5000 € |
SNCF | 2000 € |
2013 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.166.475 € |
Ademe | 197.854 € |
Lyonnaise des eaux | 180.000 € |
GDF Suez | 141.667 € |
Ministère de l'Agriculture | 119.850 € |
Réseau ferré de France | 107.500 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
GDF Branche Energie France | 70.000 € |
Onema | 50.000 € |
PSA | 50.000 € |
Agence de l'eau | 44.749 € |
Voies navigables de France | 42.375 € |
SNCF | 40.000 € |
Fondation ECF | 38.750 € |
RTE | 37.750 € |
ONF | 35.000 € |
Deutsche Um e.V | 32.059 € |
Fondation Macif | 30.000 € |
PEFC | 30.000 € |
Veolia | 29.167 € |
Aires marines protégées | 27.500 € |
FNTP | 22.500 € |
Transport & Environment | 22.000 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
Mobivia | 17.500 € |
La Poste | 17.500 € |
Aides à l'emploi | 16.408 € |
AFD | 11.667 € |
H&B | 11.000 € |
Monoprix | 10.000 € |
Michelin | 10.000 € |
GRDF+GDF | 10.000 € |
Smetrall | 9000 € |
ERDF | 4000 € |
Nestlé | 3000 € |
Carrefour | 2500 € |
Belin | 2000 € |
Herta | 2000 € |
2012 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.057.800 € |
GDF Suez | 200.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 150.000 € |
Lyonnaise des eaux | 150.000 € |
Ademe | 143.736 € |
Ministère de l'Agriculture | 117.283 € |
Réseau ferré de France | 80.000 € |
Séché | 75.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
SNCF | 60.000 € |
Voies navigables de France | 55.630 € |
Aides à l'emploi | 41.632 € |
Agence de l'eau | 37.885 € |
ONF | 36.250 € |
PEFC | 32.500 € |
Onema | 30.000 € |
Alliance Carton Nature | 25.000 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
Deutsche Um e.V | 18.622 € |
RTE | 16.250 € |
Ministère des Sports | 14.616 € |
Fondation ECF | 12.917 € |
Fondation de France | 10.000 € |
CNAR Environnement | 9000 € |
AFD | 8333 € |
Transport & Environment | 8167 € |
GDF Branche Energie France | 6666 € |
Nature & Découverte | 5000 € |
Alliantis | 5000 € |
Belin | 1975 € |