81-83 bd Port-Royal
75013 Paris
Tél. : 01 44 08 02 50
Email : information@fne.asso.fr
Site : http://www.fne.asso.fr
Avec une équipe nationale composée de 180 bénévoles et 47 salariés, la force de FNE repose sur un large maillage associatif, puisque l’association réunit 46 associations adhérentes (et 9087 associations affiliées, membres des associations adhérentes). Présente dans près de 400 instances de concertation, FNE est incontournable dans les négociations environnementales. Son ancrage local, son expérience de la négociation et son expertise en font un interlocuteur privilégié des pouvoirs publics. Cela s’explique aussi par une forte dépendance de FNE vis-à-vis des ministères, puisque ceux-ci assurent environ un tiers des recettes de l’association écologiste. FNE travaille donc de façon étroite et régulière avec le ministère de l’Ecologie, et cela avait été particulièrement le cas quand Nicolas Hulot en avait la charge. Michel Dubromel, président de FNE de l’époque, avait même confié à propos de ce dernier : «On a un accès direct, alors on n’hésite pas à lui dire quand il déconne.»
Concernant ses campagnes, FNE était à l’origine centrée sur la protection de la faune et de la flore, et a ensuite progressivement investi les autres thèmes écologistes comme le nucléaire, la 5G, les OGM, la santé environnementale ou encore les transports et mobilités durables. Ainsi, FNE va aussi bien promouvoir l’écotaxe pour les poids lourds, défendre la présence du loup et de l’ours en France que demander «l’arrêt de nombreux projets climaticides dont l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes par exemple».
De façon plus générale, FNE fustige le «dogme de la croissance économique», affirmant qu’«une croissance économique illimitée est incompatible avec la protection viable de la nature et de l’environnement». D’ailleurs, le président de FNE, Arnaud Schwartz, s’est déclaré en 2019 un partisan de la décroissance, «à titre personnel» : «Il faut des mesures qui remettent profondément en cause les modes de production, de consommation, d’habitation, de déplacement, de vivre ensemble… Le tout résumé en une seule mesure, c’est la décroissance. On n’a pas besoin d’attendre les autres pays pour ça.»
FNE affirme entretenir une «culture du dialogue» et, en effet, l’association est engagée dans des partenariats importants avec des acteurs du monde économique, comme Paprec Group, PSA, Lafarge, Suez ou Veolia. Des partenariats jugés par certains écologistes comme des compromissions de FNE. Ainsi, le journaliste écologiste Fabrice Nicolino dénonce «une petite bureaucratie» qui est «perpétuellement à la recherche de breloques et de sous», et déplore qu’«ils s’acoquinent régulièrement avec des industriels dans le cadre de partenariats qu’ils jugent nécessaires». Et de fustiger le «pacte inouï» signé avec Keolis, MOBIVIA et la fondation PSA Peugeot Citroën. Dans le même temps, FNE peut adopter des positions radicales peu favorables au dialogue, comme quand elle a signé l’appel des coquelicots, initiative de Fabrice Nicolino, exigeant l’interdiction de tous les pesticides de synthèse.
Depuis quelques années, FNE essaye de rattraper son retard de notoriété par rapport aux autres grandes associations écologistes. De plus, elle tente de sortir de son image institutionnelle. Pour ce faire, elle avait décidé de lancer une campagne coup de poing, à la veille du Salon international de l’agriculture de 2011, avec des affiches agressives vis-à-vis du monde agricole, portant sur les importations d’OGM, les nitrates issus des élevages porcins et les pesticides. Comme l’avait expliqué Benoit Hartmann, directeur de FNE : «Pour être sûrs d’interpeller, nous avons choisi de dire adieu aux images bucoliques et aux discours gentillets.» Cette campagne stigmatisant les agriculteurs a beaucoup choqué à l’époque et suscité de nombreuses critiques. Depuis, FNE est revenu à des méthodes de communication moins polémiques.
Association de la loi de 1901, créée en 1968, reconnue d’utilité publique en 1976.
Bureau
- Arnaud Schwartz : président
- Antoine Gatet : vice-président
- Cécile Claveirole : secrétaire nationale
- Ginette Vastel : vice-présidente
- Jérôme Partos : trésorier
- Nicolas Richard : secrétaire national, trésorier adjoint
- Rita Fahd : vice-présidente
Conseil d’administration
- Agnès Popelin
- Alain Chabrolle
- Arnaud Berger
- Elodie Martinie-Cousty
- Florence Denier-Pasquier
- Frédérique Resche-Rigon
- Jean-David Abel
- Marion Fourtune
- Martine Vallon
- Michel Dubromel
- Muriel Martin-Dupray
- Nyls de Pracontal
- Pierre Gallet de Saint-Aurin
- Raymond Léost
- Thierry Dereux
- Viviane Tiar
Equipe salariée
- Bénédicte Hermelin : directrice générale
- Adeline Mathien : coordinatrice du réseau Énergie
- Alexis Guilpart : coordinateur du réseau Eau et Milieux aquatiques
- Anna Cohen Boulakia Nabeiro : chargée de mission Agriculture
- Anne Feuillas : chargée de Développement
- Anne Roques : juriste environnement
- Antoine Delalande : responsable des publications
- Chloé Godefroy : chargée de plaidoyer Affaires économiques et européennes
- Christian Hosy : coordinateur réseau Biodiversité
- Demba Diedhiou : responsable des programmes
- Estelle Grellier : assistante
- Evelyne Gauthier : responsable administrative et financière
- Frédéric Briant : chargé développement dons et libéralités
- Frédéric Cousin : responsable systèmes d’information
- Guillaume Pannier : responsable du service développement
- Heremoana Puhetini : responsable du lien fédéral et de la vie associative
- Jean-Pierre Coudouy : chargé de mission du lien fédéral et de la vie associative
- Julie Durand : chargée de mission du lien fédéral et de la vie associative
- Laura Chiron : chargée de mission Prévention et Gestion des déchets
- Leïla Ayouch : responsable ressources humaines
- Malou Boisson : chargée de mission Eau et Milieux Aquatiques
- Manua Heriteau : chargée de mission Océans, mers et littoraux
- Margarita Verboud : coordinatrice du réseau prévention et gestion des déchets
- Marie-Catherine Schulz : coordinatrice du réseau Agriculture
- Maxime Paquin : chargé de mission Biodiversité
- Morgane Piederrière : responsable du plaidoyer et des Relations institutionnelles
- Nicolas Roura : chargé de mission Forêt
- Pierrette Saupin : coordinatrice du réseau Risques et Impacts Industriels
- Rachel Louiset : chargée de mission Education et sensibilisation à l’environnement
- Sabrina Roze : assistante administrative
- Stéphanie Morelle : chargée de mission réseau Biodiversité
- Thibault Leroux : chargé de mission Agriculture
- Thomas Lesperrier : coordinateur du réseau Transports et mobilités durables
- Virginie Boquin : chargée des Relations Presse
Experts bénévoles
- Anne Lassmann-Trappier : membre du directoire du réseau santé-environnement et du réseau transports et mobilités durables
- Christian Garnier : membre d’honneur
- Denez L’Hostis : président d’honneur, membre du directoire du réseau océans mer et littoraux
- Gilles Benest : membre du directoire du réseau biodiversité et du bureau de la fédération des parcs naturels régionaux
- Jean Thévenon : membre du directoire du réseau Territoires & mobilités durables
- Johann Leconte : pilote du réseau Prévention et Gestion des Déchets
- Sabine Martin : pilote du réseau Eaux & Milieux Aquatiques
Dans les années 60, il y a une volonté commune de réunir les associations de protection de l’environnement nationales, régionales, départementales et locales en un même ensemble. Sous l’impulsion de François Hüe, alors président de la Société Nationale de Protection de la Nature, il est créé la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature (FFSPN) en 1968. La mobilisation pour la défense du parc de la Vanoise (1969-1971) menacé par un programme d’aménagement touristique a été un catalyseur pour la toute jeune fédération. L’association sera rebaptisée France Nature Environnement en 1990.
FNE fonctionne avec 13 réseaux thématiques : Agriculture ; Biodiversité ; Eau et milieux aquatiques ; Éducation et sensibilisation à l’environnement et la nature ; Énergie ; Forêt ; Juridique ; Océans, mers et littoraux ; Prévention et gestion des déchets ; Risques et impacts industriels ; Santé et environnement ; Transports et mobilités durables ; Villes et territoires soutenables. FNE a été particulièrement impliquée dans le Grenelle de l’environnement, prenant clairement la posture de ceux qui veulent «jouer le jeu». Sur le climat, FNE s’est engagée à accompagner ses associations afin qu’elles impulsent et participent à la création de Plans Climat-Energie Territoriaux, outils des collectivités pour lutter contre le dérèglement climatique. FNE soutient la mise en place de la trame verte et bleue, réseau de milieux naturels qui doit permettre de préserver la biodiversité. Concernant les questions agricoles, FNE met à son actif un «lobbying pour une agriculture à haute valeur environnementale» dans les négociations au niveau national : contribuer à la certification «haute valeur environnementale» des exploitations, réorienter les aides publiques à l’agriculture vers les exploitations agricoles favorables à l’environnement et réduire de moitié les usages de pesticides en 10 ans. Sur la loi OGM, en 2008, FNE avait fait ses propres propositions d’amendement avec FNH et la LPO, différentes de celles élaborées entre autres par la Confédération paysanne et Greenpeace. FNE a participé très activement aux travaux du Comité de préfiguration qui a abouti à la suspension du MON810. La Fédération est aussi mobilisée sur différentes questions clefs : les algues vertes, les déchets, les méga-camions, les nanotechnologies, etc.
Début 2011, à la veille du Salon de l’agriculture, FNE a lancé une campagne d’affichage choc, stigmatisant le monde agricole à propos des OGM, des algues vertes et des pesticides. Cette méthode de communication agressive, inspirée par celle de Greenpeace, a permis à FNE de bénéficier d’une importante couverture médiatique. Après la polémique qu’a suscité cette campagne, FNE est revenu à des méthodes d’intervention plus classiques. Depuis 2011, FNE a engagé un partenariat avec l’INRA pour des «échanges sur l’agroécologie». En septembre 2012, FNE a participé à la Journée mondiale contre les gaz et pétrole de schiste, afin de mobiliser «contre l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels, dangereux pour le climat, la santé et l’environnement». De décembre 2012 à juillet 2013, à l’occasion du débat national sur la transition énergétique, FNE a organisé 30 événements dans 16 régions différentes afin d’«engager notre société vers un modèle énergétique plus sobre, plus équitable et moins polluant». En 2013, FNE a publié un livret de recettes anti-gaspillage, À vos tabliers !, leur objectif étant de réduire de moitié le gaspillage alimentaire d’ici 2025. Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets, FNE organise chaque année des actions : en 2019, ce sont 60 associations membres et affiliées à FNE qui ont mis en place 168 actions partout en France.
En septembre 2017, FNE avec des organisations de la société civile et paysannes ont remis une pétition regroupant plus de 110.000 signatures contre les nouveaux OGM au ministre Nicolas Hulot. A partir de 2017, FNE a mis en place le projet participatif Sentinelles de la Nature est un projet fédéral du mouvement de France Nature Environnement, une interface cartographique qui «permet de localiser et de signaler sur le territoire des atteintes à l’environnement ou des initiatives qui lui sont favorables». En 2019, il y a eu 1889 signalements publiés. En janvier 2018, FNE déplore que «la loi alimentation n’est en fait qu’une loi d’économie agricole». En février 2018, FNE avec d’autres associations s’oppose au nouveau «plan loup», expliquant que «l’État est incapable de mettre en évidence les bénéfices attendus du retour des prédateurs». En mars 2018, FNE cosigne une lettre ouverte appelant les ministres concernés «à ne pas délivrer de dérogation à l’utilisation des néonicotinoïdes». Au même moment, FNE accuse Nestlé Watters d’assécher la nappe phréatique de Vittel. En avril 2018, à l’occasion des expulsions à Notre-Dame-des-Mandes, FNE France Nature Environnement «dénonce une opération de manipulation médiatique qui fragilise le dialogue engagé avec l’ensemble des acteurs locaux autour du projet de territoire». En 2019, FNE, avec 19 organisations, a lancé le Pacte du pouvoir de vivre, «pour porter ensemble la convergence de l’écologie et du social». En septembre 2020, FNE, PRIARTEM et Agir pour l’Environnement plaident appellent à «bloquer le développement de la 5G tant qu’une évaluation sérieuse n’aura pas été conduite dans les règles de l’art».
Lobbying : FNE déclare avoir dépensé entre 2 et 2,2 millions d’euros en 2021 pour des activités de lobbying auprès des députés et sénateurs (contre 2,5 à 2,7 millions en 2020, 2,2 à 2,5 millions en 2019 et en 2018, de 2,7 à 3 millions en 2017). Elle a déclaré 13 actions de lobbying en 2021 (contre 14 en 2020, 13 en 2019, 12 actions en 2018 et en 2017). FNE représente les associations de protection de la nature et de l’environnement au sein de 396 instances de concertation (territoriales, nationales et internationales). Par exemple, au sein du Conseil économique, social et environnemental, 6 des 13 représentants d’associations écologistes viennent de FNE.
Contentieux : FNE n’hésite pas à recourir à la justice. En 2019, elle revendique 214 actions contentieuses en justice (contre près de 140 affaires suivies en justice en 2018), avec 86% de taux de réussite. Avec plusieurs organisations, elle a, par exemple, lancé 25 contentieux pour contester les décisions de préfets d’exclure certains types de «points d’eau» le long desquels l’utilisation de pesticides devait être interdite. Ou encore, en avril 2019, le tribunal administratif de Grenoble, saisi par FNE, a condamné Lactalis à 100.000 euros d’amende parce qu’il rejetait chaque année 200 tonnes de produits chimiques dans l’Isère.
En 2021, les dons, cotisations et legs représentent seulement 14% du budget de FNE. L’association dépend en grande partie des subventions publiques, le ministère de l’Ecologie assurant à lui seul 28% du budget de FNE en 2021. Le Crédit Coopératif soutient FNE avec la mise en place de produits bancaires solidaires qui ont apporté 228.439 euros en 2021. L’activité contentieuse du réseau juridique a permis à FNE de bénéficier en 2021 de 177.928 euros de ressources liées aux procédures engagées.
Année | Produits | Charges | Résultat |
---|---|---|---|
2021 | 4.473.238 € | 4.011.087 € | 462.151 € |
2020 | 3.992.592 € | 3.666.953 € | 325.639 € |
2019 | 4.077.716 € | 3.531.917 € | 545.799 € |
2018 | 3.914.849 € | 3.603.888 € | 310.961 € |
2017 | 3.688.394 € | 4.027.722 € | -339.328 € |
2016 | 3.644.075 € | 3.643.660 € | 415 € |
2015 | 3.472.409 € | 3.689.423 € | -217.014 € |
2014 | 3.444.847 € | 3.442.525 € | 2322 € |
2013 | 3.731.596 € | 3.515.693 € | 215.903 € |
2012 | 3.461.269 € | 3.647.495 € | -186.226 € |
2011 | 3.789.368 € | 3.786.272 € | 3096 € |
2010 | 3.007.712 € | 2.960.319 € | 47.393 € |
2009 | 2.705.008 € | 2.690.877 € | 14.131 € |
2008 | 2.281.856 € | 2.304.718 € | -22.862 € |
2007 | 1.543.664 € | 1.543.379 € | 285 € |
Répartition des financements
Principales sources extérieures de financement
2021 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.260.000 € |
Office français de la biodiversité | 286.789 € |
SNCF Réseaux | 210.000 € |
Paprec Group | 150.000 € |
Ademe | 129.758 € |
Programme LIFE (UE) | 94.357 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 79.000 € |
GRDF | 70.000 € |
Engie | 64.000 € |
Galec | 52.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Keolis | 30.000 € |
Reforest'action | 25.616 € |
SNCF Groupe | 20.000 € |
CRDLA | 20.000 € |
GRT Gaz | 50.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 20.000 € |
ONF | 50.000 € |
La Poste | 15.000 € |
Boralex | 15.000 € |
Ecologic | 15.000 € |
CFEEDD | 14.896 € |
Horace | 12.549 € |
Séché Environnement | 12.500 € |
Eoliennes en mer | 12.500 € |
Crédit coopératif | 12.180 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 11.900 € |
Vicat | 10.500 € |
Cereco | 10.000 € |
Spotify | 10.000 € |
PEFC | 9537 € |
Eau de Paris | 6750 € |
Germanwatch | 4998 € |
Enedis | 4000 € |
2020 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.275.000 € |
Office français de la biodiversité | 319.761 € |
Paprec Group | 250.000 € |
Ademe | 162.037 € |
GRDF | 120.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 75.137 € |
Engie | 68.000 € |
Crédit agricole | 50.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Vicat | 45.500 € |
Voies navigables de France | 40.000 € |
ONF | 40.000 € |
Agence de l'eau | 33.000 € |
SNCF | 30.000 € |
Keolis | 30.000 € |
Reforest'action | 30.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 25.000 € |
Galec | 23.000 € |
Germanwatch | 21.001 € |
Boralex | 20.670 € |
WPD | 16.667 € |
Melvita | 15.000 € |
Eau de Paris | 15.000 € |
Programme LIFE (UE) | 14.940 € |
Eoliennes en mer | 12.500 € |
Crédit coopératif | 7500 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 6650 € |
CRM Services | 6365 € |
Agence française pour la biodiversité | 6000 € |
Eco TLC | 5000 € |
Horace | 2670 € |
PEFC | 1400 € |
2019 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.300.000 € |
Paprec Group | 350.000 € |
Agence française pour la biodiversité | 225.539 € |
Ademe | 217.285 € |
PSA | 200.000 € |
GRDF | 120.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
RTE | 66.363 € |
Engie | 58.000 € |
Leclerc | 55.000 € |
Seas at Risk | 50.000 € |
Citeo | 50.000 € |
Vicat | 49.000 € |
Voies navigables de France | 40.000 € |
SNCF | 38.750 € |
Réseau ferré de France | 25.000 € |
Léa Nature | 25.000 € |
Agence de l'eau Loire-Bretagne | 23.470 € |
Eoliennes en mer | 22.500 € |
Agence de l'eau Seine-Normandie | 20.240 € |
Keolis | 16.250 € |
Melvita | 15.000 € |
Reforest'action | 14.000 € |
Nabu | 13.693 € |
Mighty Earth | 11.764 € |
Caisse des dépôts et consignations | 10.000 € |
ONF | 10.000 € |
Boralex | 9330 € |
Avifaune | 8000 € |
Bureau européen de l'environnement | 6000 € |
Birdlife | 5875 € |
Eco TLC | 5000 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 4200 € |
Programme LIFE (UE) | 4000 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
Deloitte Développement Durable | non connu |
Eau de Paris | non connu |
GRT Gaz | non connu |
Office français de la biodiversité | non connu |
Transitions DD | non connu |
2018 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.350.000 € |
Agence française pour la biodiversité | 233.695 € |
PSA | 200.000 € |
Paprec Group | 150.000 € |
Engie | 130.000 € |
Réseau ferré de France | 120.000 € |
Ademe | 101.415 € |
Ministère de l'Agriculture | 83.695 € |
GRDF | 65.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
SNCF | 55.000 € |
Citeo | 50.000 € |
GDF Suez | 49.375 € |
Eoliennes en mer Dieppe Le Tréport | 45.000 € |
Eoliennes en Mer Iles d'Yeu et de Noirmoutier | 45.000 € |
RTE | 43.750 € |
Keolis | 43.528 € |
Agence de l'eau Loire-Bretagne | 39.600 € |
Vicat | 35.000 € |
Nabu | 27.658 € |
EOLFI | 25.000 € |
Léa Nature | 25.000 € |
Programme LIFE (UE) | 20.000 € |
Mobivia | 16.667 € |
Onema | 13.740 € |
Séché Environnement | 10.000 € |
GRT Gaz | 10.000 € |
Fonds pour le développement de la vie associative | 9800 € |
ONF | 9100 € |
Avifaune | 8000 € |
Transitions DD | 7222 € |
Agence de l'eau Seine-Normandie | 4049 € |
Bureau européen de l'environnement | 4002 € |
Birdlife | 3857 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
Mighty Earth | 2756 € |
Eoliennes en mer | 2500 € |
CNAR Environnement | 2500 € |
Reforest'action | 1000 € |
2017 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.215.000 € |
Ademe | 196.392 € |
Crédit coopératif | 184.644 € |
Agence française pour la biodiversité | 150.000 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
Lyonnaise des eaux | 62.500 € |
Onema | 65.457 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
GRDF | 42.500 € |
Agence de l'eau | 38.235 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
SNCF | 15.000 € |
ONF | 9400 € |
CR DLA | 9179 € |
Voies navigables de France | 8000 € |
Réseau Action Climat | 6125 € |
Ministère de l'Education nationale | 3000 € |
2016 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.216.000 € |
Ademe | 211.216 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Ministère de l'Agriculture | 90.000 € |
GRDF | 70.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 60.000 € |
Lyonnaise des eaux | 53.125 € |
Onema | 51.717 € |
Lafarge | 50.000 € |
Agence de l'eau | 36.050 € |
Aires marines protégées | 30.953 € |
Voies navigables de France | 29.330 € |
GDF Suez | 28.333 € |
Veolia | 20.833 € |
Réseau ferré de France | 17.500 € |
CR DLA | 10.640 € |
Crédit coopératif | 10.000 € |
ONF | 8750 € |
Bureau européen de l'environnement | 6798 € |
2015 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.092.000 € |
Ademe | 264.296 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Bureau européen de l'environnement | 82.816 € |
Ministère de l'Agriculture | 80.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lyonnaise des eaux | 60.000 € |
Lafarge | 58.333 € |
GRDF | 52.500 € |
GDF Suez | 50.000 € |
Onema | 50.000 € |
Veolia | 50.000 € |
Aires marines protégées | 40.833 € |
ONF | 35.000 € |
Agence de l'eau | 33.000 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
Voies navigables de France | 22.151 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
GDF Branche Energie France | 16.667 € |
AFD | 15.000 € |
CR DLA | 10.500 € |
2014 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.102.000 € |
Ademe | 154.342 € |
Ministère de l'Agriculture | 107.800 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Lyonnaise des eaux | 80.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
Bureau européen de l'environnement | 61.000 € |
Voies navigables de France | 57.883 € |
GDF Suez | 50.000 € |
Onema | 50.000 € |
Veolia | 50.000 € |
Fondation Macif | 40.000 € |
ONF | 35.000 € |
Réseau ferré de France | 30.000 € |
AFD | 30.000 € |
Agence de l'eau | 29.484 € |
Aires marines protégées | 28.333 € |
CR DLA | 27.736 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
GDF Branche Energie France | 20.000 € |
Transport & Environment | 5000 € |
SNCF | 2000 € |
2013 | |
---|---|
Ministère de l'Ecologie | 1.166.475 € |
Ademe | 197.854 € |
Lyonnaise des eaux | 180.000 € |
GDF Suez | 141.667 € |
Ministère de l'Agriculture | 119.850 € |
Réseau ferré de France | 107.500 € |
Eco Emballages | 100.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 80.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
GDF Branche Energie France | 70.000 € |
Onema | 50.000 € |
PSA | 50.000 € |
Agence de l'eau | 44.749 € |
Voies navigables de France | 42.375 € |
SNCF | 40.000 € |
Fondation ECF | 38.750 € |
RTE | 37.750 € |
ONF | 35.000 € |
Deutsche Um e.V | 32.059 € |
Fondation Macif | 30.000 € |
PEFC | 30.000 € |
Veolia | 29.167 € |
Aires marines protégées | 27.500 € |
FNTP | 22.500 € |
Transport & Environment | 22.000 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
Mobivia | 17.500 € |
La Poste | 17.500 € |
Aides à l'emploi | 16.408 € |
AFD | 11.667 € |
H&B | 11.000 € |
Monoprix | 10.000 € |
Michelin | 10.000 € |
GRDF+GDF | 10.000 € |
Smetrall | 9000 € |
ERDF | 4000 € |
Nestlé | 3000 € |
Carrefour | 2500 € |
Belin | 2000 € |
Herta | 2000 € |
2012 | |
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Ministère de l'Ecologie | 1.057.800 € |
GDF Suez | 200.000 € |
Caisse des dépôts et consignations | 150.000 € |
Lyonnaise des eaux | 150.000 € |
Ademe | 143.736 € |
Ministère de l'Agriculture | 117.283 € |
Réseau ferré de France | 80.000 € |
Séché | 75.000 € |
Lafarge | 70.000 € |
SNCF | 60.000 € |
Voies navigables de France | 55.630 € |
Aides à l'emploi | 41.632 € |
Agence de l'eau | 37.885 € |
ONF | 36.250 € |
PEFC | 32.500 € |
Onema | 30.000 € |
Alliance Carton Nature | 25.000 € |
Crédit coopératif | 20.000 € |
Deutsche Um e.V | 18.622 € |
RTE | 16.250 € |
Ministère des Sports | 14.616 € |
Fondation ECF | 12.917 € |
Fondation de France | 10.000 € |
CNAR Environnement | 9000 € |
AFD | 8333 € |
Transport & Environment | 8167 € |
GDF Branche Energie France | 6666 € |
Nature & Découverte | 5000 € |
Alliantis | 5000 € |
Belin | 1975 € |