ARTAC (Association pour la recherche thérapeutique anti-cancéreuse)

57/59 rue de la Convention
75015 Paris.
Tél : 01.45.78.53.53
E-mail : artac.cerc@gmail.com
Site : http://www.artac.info


Les activités de l’ARTAC sont ponctuées par les multiples interventions du professeur Belpomme dans les médias et dans des conférences (une vingtaine par an). Depuis le succès de leur colloque à l’UNESCO en 2004 avec la promulgation de l’Appel de Paris, l’ARTAC organise régulièrement un événement de ce type. Ainsi, en 2006 un deuxième colloque a été organisé afin de présenter un «Mémorandum» de 164 mesures pour lutter pour une «santé durable». Un troisième colloque a eu lieu en avril 2011 sur la question de la santé des enfants, en ciblant comme public les professionnels de la santé. Depuis lors, l’association dispense régulièrement des cours de santé environnementale. Un quatrième colloque sur le thème «Champs électromagnétiques, alliages dentaires et santé» est prévu en octobre 2014.
L’ARTAC s’est aussi intéressée à deux importants dossiers. Le premier concernant le «désastre sanitaire» aux Antilles causé par le chlordécone. Le deuxième portant sur l’électrosensibilité et les effets des champs électromagnétiques sur la santé. En avril 2010, l’ARTAC et le CRIIREM, en étroite collaboration avec Robin des Toits ont décidé d’unir leurs efforts dans un cadre commun dénommé «Alliance Scientifique pour le Traitement et la Reconnaissance des malades Electrosensibles» (ASTRÉ). Il y a aussi des interventions régulières contre les incinérateurs. Début 2014, l’ARTAC a créé un site dédié EHS & MCS à l’hypersensibilité aux champs électromagnétiques et/ou aux produits chimiques
Fin juillet 2011, à l’initiative de l’ARTAC, l’European Cancer and Environment Research Institute (ECERI) a été créé avec son siège à Bruxelles. Parmi les membres fondateurs de l’institut, mentionnons : Dominique Belpomme, Corinne Lepage, Paul Lannoye (ex-député européen du parti Ecolo), Jean Huss (député vert luxembourgeois et président de la commission santé-environnement du Conseil de l’Europe). Bien que le premier objectif de l’institut va être la diffusion d’un nouveau test de dépistage du cancer mis au point par l’ARTAC, l’ECERI a vocation à devenir l’équivalent de l’ARTAC à l’échelon européen. Corinne Lepage justifie l’intérêt de créer l’ECERI car «le système actuel d’expertise est largement dans les mains des lobbies et prive la société d’une expertise indépendante menée dans le seul but de servir l’intérêt général». Fin 2013, l’ECERI a publié une expertise concernant 5 produits phytosanitaires utilisés par épandage aérien aux Antilles à la demande de l’Association Médicale pour la Sauvegarde de la Santé et de l’Environnement en Martinique.

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